Du 29 avril au 3 mai 2019 au Centre de recherches scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS), le programme Afrique One-ASPIRE a dispensé une formation sur la collecte de données qualitatives et les méthodes d’analyse utilisant NVivo et Maxqdata.

L’objectif de cette formation était de fournir aux étudiants l’occasion de se familiariser avec les méthodes de recherche qualitative et leur analyse à l’aide d’un logiciel de données qualitatives.

Le premier jour, les étudiants ont découvert différentes méthodes de collecte de données qualitatives. Il s’agissait d’une formation interactive à laquelle les étudiants devaient participer activement pendant la leçon. Les deuxième et troisième jour, les étudiants ont été initiés à NVivo ou Maxqdata. Les conférences sur l’application générale du logiciel ont été suivies d’ateliers pratiques et appliqués. Au cours des deux derniers jours, les participants ont appris comment intégrer des données qualitatives et quantitatives afin d’optimiser les résultats de leurs données. Dans une session interactive, les étudiants ont formé des groupes et ont dû évaluer de manière critique une étude scientifique utilisant des méthodes mixtes. Ensuite, chaque groupe a préparé une présentation PowerPoint et présenté son évaluation critique le lendemain. Enfin, une courte session sur la rédaction d’articles a mis fin au cours.

Cette session d’une durée totale de 38 heures a été animé pour la partie qualitative par les Drs Adou Djane et Katharina Kreppel du CSRS et du NM-AIST respectivement. La formation au logiciel a été assurée par Jacob Mobio et le Dr. Severin Kouame.

Ce sont au total 26 étudiants (Maitrise et doctorat) venus de l’IRED, EISMV, Université du Ghana, CSRS qui y ont participé. Ils ont acquis de nouvelles compétences en matière de collecte et d’analyse de données qu’ils peuvent maintenant mettre en œuvre et appliquer à leurs recherches. Des méthodes qualitatives et quantitatives ont été intégrées pour améliorer la compréhension globale de leurs sujets de recherche. Ceci est important pour le One Health, car le sujet est interdisciplinaire et vise à répondre à des questions de recherche couvrant une multitude de sujets.